un titre qui serait trop long

Ok, ca va pas etre facile de faire court cette fois…ca fait un petit bout de temps que nous n’avons pas ecrit, pour des raisons techniques et d’autres raisons technique…j’explique: il a donc a peu pres 15 jours mas o menos(dur de suivre le cours des jours) nous sommes parties a la Finca Viñaco pour rejoindre nos chevaux…mais jusqu’ici tout alle trop bien, alors une de nos mules un peu difficiles avec les posterieurs, n’etait pas encore ferree…et pas de chance le ferrage ne s’est finalement pas bien passé et notre mules a ete blessee.

Nous sommes donc reste 4 nuits a Viñaco et dans notre malheur et notre impatience nous avons vecu des moments tres speciaux…Nous avons plante la tente sous un hangar pensant vivre nos premier moment “nature”, mais il s’est avere  que nous  avons ete invite d’abord pour le café, puis pour le dejeuner, puis pour le diner, etc. Cela pendant 3 jours ou nous avons connu a peu pres toute la famille, vue des bataille de cochon dans une assiette de grain et aussi une ou deux petite ballade a cheval pour ce metre en jambe et ou nous avons pu aussi commencer d’autres cours de Castillano intensifs et partager beaucoup de chose don’t avec Gloria la “mere” de cette grande famille “un gran Corazon”….donc des moments tres speciaux qui ont ete confirme par les aurevoir…Puisque Finalement nous avons pu partir le Dimanche…le matin donc après une longue preparation du a notre manque d’experience et le fait qu’on ete bien la et qu’on avait du mal a partir…finalement les aurevoir et Quels aurevoir une bouteille de Cidre et ouverte (boisson des occasion speciale comme Noel) et les larmes coulent…j’en ai encore des frissons partout….seulement après 4 jours tant d’emotion!

Quel pays!

 Et puis pour ne pas etre d’un coup tout seul les Gauchos de la finca decide de nous accompagner pour le debut de cette cabalgata qui enfin va commencer et c’etait pas un mal puisque 40 mettre apres le depart de la finca une reserve d’eau s’ecroule de bnotre cheval de bat, ca les fait bien rigoler les gauchos et c’est que le debut pour nous! Ca va donner!

 ...un peu de pluie pour la tristesse…un peu de biere pour l’entraint et quelques empanadas pour le courage..ou l’inverse…en fin bon apres une bonne dizaine de kilometres…la c’est pour de bon, nous sommes LOS TRES on the road! et dans le silence pour plusieurs dizaine de minutes…

Plein d’aventures vont nous attendre pour les balbutiement de cette cabalgat un peu loca..les premieres heures apres la separation avec les gauchosse feront sous la pluie et nous arretons asse tot pres du Rio pour dormir la nuit….

Le lendemain matin les choses serieuses commencent pour commencer nous nous reveillons a 6h du matin et nous arrivons a partir a cheval du camp a…euh 11h je crois!!! Wouaw..on se promet de faire mieu demain…ce jour la nous avons suivit le rio pour fialement en sortir quand la route n’est plus goudronee…après quelques kilometres une voiture arrivant de derriere klaxonne…et c’est YAYO!!! Il nous a cherche la nuit derniere mais nous etions dans le Rio ..aujourd’hui il nous a trouve et nous amene de la luzerne pour les chevaux et du pain pour nous…il nous aidera aussi a trouver un endroit pour passer la nuit et ou il deposera le fardo de luzerne…peut etr nous le reverons a Cafayate dans plusieurs jours…. Ce soir la n’a pas ete le plus facile Myrna c’est fait mordre a l’epaule par Polvo, je me suis coince le dos et pour finir il pleut comme vache qui pisse..mais au moins les chevaux sont dans un super champs et nous pouvons dormer a l’interieur d’un batiment vide pour nous arbiter…

Les choses se calmes et nous reveillons decide a mettre moins de 4 heures pour partir…si on peut, fianlement un gaucho ayant passé la nuit la nous propose de nous guider dans la montagne et nous invite chez lui pour la nuit….pourquoi pas un guide pour la journee!…Ce gaucho s’appel Beto et comme notre castellano n’est pas parfait on a pas tres tres bien compris quand il disait qu’il habitait dans la montagne c’etait pas la moitie d’une montagne…quand on compris qu’on alle commencer sur des sentier de muletiers escarpe et qui monte qui monte avec des pierres et tout et tout…on a commence a devenir un peu plus serieux…surtout Myrna et moi… fifi? Et bin tranquille sur ca mule qui Presque dansee en montant tout ca..sauf la selle qui a glissee a un moment parce que ca mule est “legerement” trop ronde…mais Myrna a eut l’oeil avant que fifí n’atterisse par terre …

 Vous ne verrai pas de photos de la ou on est passe parce que que on regarder de l’autre cote…desole

On s’etait dis ahh..les premier jours tranquilles etc et puis nous voila montant de 2000 a 3000 metres en quelques heures par des chemin qu’on aurait meme pas pu imaginer dans nos esprit…quoi qu’il en soit après 6 de monte intensive (alors que Beto a besion de 4h) dont les 2 dernieres heures sous la pluie nous sommes finalement sauve YOUHOU! Arrive a sa maison ou il vit tout seul au milieu de 800 vaches, 80 chevaux, chevres, chiens, moutons et tutti quanti sur 10 000 hectares de terrain don’t prend soin pour la compte d’un Dueno de Salta. ….il prendra aussi bien soin de nous, faisant du feu, donnant a manger au chevaux avant de les lacher dans un champs aussi grand que…euh tres tres tres grand.ou meme que y’a des montagnes au milieu

Nous prendrons un jour de repos pour nous remettre de nos emotions et Beto nous accompagnera sur un petit bout de chemin le lendemain, evidement ce fut encore une reencontré courte mais intense, au milieu de ces montagnes a 3000 metres ou l’on vit dans la simplicite (bien qu’il a internet marchant avec un generateur!!!) et avec un Coeur gros comme ca, jusqu’a nous metre du pate dans nos affaires quand on avait le dos tourne pour etre sure qu’on ne meurt pas de faim

…

Le jour ou il nous quitte va etre un jour difficile parce qu’on allons aborder des grandes plaine vide vide vide vide….et…vide. De la pousiere ( ca de la poussieer j’en voulais et bin j’en ai), du vent, du vent, du vent, quelques lamas et quelques anes sauvages. Un jour long, a suivre une route avec des lignes droite de 10 a 20 kilometres…pas du gateau pour un debut…finalemnt tard le soir , trop tard nous campon dans un champs mort de fatigue, avec peu d’eau, fatigue par le vent et le froid…et une surprise nous attend: des chevaux viennent roder autour de nos chevaux et mettent la pagaillent, ils cherchent de noisent probablement parce que nous sommes chez eux….une nuit pas facile….le lendmain? Un peu plus de desert de cactus et de route rectilignes sans fin…decidement pour un debut notre “balade” a un debut spectaculaire….on a l’air de souffrir hein avec tout ca? Et bin un petit peu c’est vari mais alors les paysages...des etandu vierges, des plaines a couper le soufflé par la solitude et la dimension…

Les choses vont fianlement s’adoucir quand nous arriveront a Payogasta et que nous trouverons un homme qui nous proposera un champ de luzerne pour les chevaux, son jardin pour notre tente, du fromage de chevre, du pain et du vin rouge…quel recompense en plus du luxe des toilettes et de l’eau courante pour se laver….ahhh elle est belle la vie…

La suite de la route nous amanera a Cachi ou il sera difficile de trouver un endroit pour les chevaux et aussi de la luzerne pour les nourrir, mais finalement misión accompli et nous pourrons nous goinfrer d’empanadas bien chaud ….alle encore une petite surprise …mais cette fois c’est de notre faute et la on a eut peur mais pour autre choses…c’est a dire qu’on a failli se retrouver a pied…le matin les 2 chevaux et une des mules se font la malle…avec Myrna on les a suivit desepere se demandant qu’est ce qu’on va devenir et qu’est ce qu’on pourrait faire pour recuperer ces chevaux qui commencent a disparaitre de notre vue…et puis apres plusieurs minutes deseperees et peut etre un bon kilometre ils se sont arretes et nous avons pu les attraper avec un peu de grain…quand je dis qu’on apprend tous les tours…ce tour la on appris bien des choses…ne pas perdre 3 chevaux sur 4 si on veut continuer le voyage!! On a eut bien peur et on recommencera plus

Nous allons comme ca de jour en jour ne nous rendons pas compte des jours qui passent, avec comme procupation principale un endroit et de la nourriture pour les chevaux pour la nuit dans des zones plutot seches, suivant une vallee avec des maisons en pointillees, des villages fantomes au heures chaudes de la journee, les maison de terres, la piste poussiereuse, le desert et les montagne de l’autre cote de cette valle qui est devenu verte artificiellement grace a des canaux….nous sommes maintenat a Molino ou nous avons decider de nous reposer une journee apres la tres longue journee d’hier…et finalement etre aussi capable d’ecrire sur le blog ( du mieu qu’on peut apres temps de chose et un Internet qui rame comme une tortue dans une baignoire) pour vous donner des nouvelles…mais il faut dire qu’on fair notre maximum par ce que la conexión Internet au milieu d’un desert n’est pas la meilleure…ahhhh la civilisation, se laver…faire la lessive…ahhhh la lessive avec la brosse et le bloc de savon...

Ce que je voudrai rajouter, c’est qu’il n’est pas facile de rendre compte de ce qu’on vit ici…que c’est pas facile tous les jours ..que parfois y’a evidement de l’electricite dans l’air mais que je crois qu’on est tous tres heureux d’etre la et qu’on fait ce qu’on a prevu de faire: un cabalgata un poquito loca avec des rencontré qui vous donnent des bonnes lessons de vie….pour nous parfois il meme difficile de comprendre pòurquoi les gens sont si gentil, si accueillant et partage tellement le peu qu’ils ont.

Hasta luego

Comments

[titi]

que d'émotion
on oublie parfois que la vrai vie est ailleurs...
je vous embrasse tendrement
titi

[Laura]

Gracias por escribir y tenernos al tanto de esta hermosa aventura! me encantó leer estas últimas experiencias y no puedo negar que se me cayeron algunas làgrimas de emoción!! Y bueno...soy argentina ché!!y me siento un poquito partícipe de la "cabalgata loca". Gracias de verdad. y...cuídense saben? y cuiden mucho a Fifi!! besitos a los tres.